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  • Marine et moi avons suivit Anna dans les méandres du lotissement car déjà que je ne connaissais pas le chemin en temps normal alors quand tout était blanc…

    C’était la première fois que j’avais hâte d’être chez Anna ! C’est vrai qu’entre elle et moi, ce n’était pas la grande amitié, elle me prenait un peu comme une « bouche-trou ». Cette fille était assez mince (même très mince) et ses cheveux blond tirant sur la blanc lui donnait un air plutôt sévère. Marie était une fille qui avait tout se qu’elle souhaitait : le dernier portable à la mode, le sac qu’elle avait vu la veille… Bref, une fifille à sa maman !

    Marine me ressemblait beaucoup plus : Elle avait des cheveux châtain clairs avec des reflets dorés et était d’une générosité sans limite ! Et elle et moi avions la même étiquette marquée « intellos ! »

    Mes pieds commençaient sérieusement à me faire mal, je ne sentais presque plus mes orteils et la route paraissait sans fin. Finalement, le rond point apparut, ce qui signifiait que nous n’avions plus que 200 mètres à parcourir !

     

    Quand soudain, mon pendentif se mit à me bruler si fortement que j’ai étouffé un cri de douleur ! Et là, j’ai vue une chose qui était trop dur à décrire mais non, je devais rêver ! C’est affreux !   


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  • Quand j’ouvris la porte, il faisait si froid que j’ai voulue tout de suite rentrer cher moi ! Je marchais le longs du chemin enneigé en regardant les arbres qui étaient penché sous le poids de la neige aux reflets bleutés, par ci par là je distinguai des traces de petits oiseaux et celle de mon chat Nougat, un joli minou noir et blanc de deux ans. Arrivée au bout de l’allée, je retrouvai Andrew, mon voisin, avec qui je faisais le trajet jusqu’au bus. Il me tenait compagnie durant le kilomètre qui nous séparait de l’arrêt le plus proche.

    A part avoir esquivé deus trois boules de neige venant de mon ami pendant notre route, tous se passa à merveille, il faut l’avouer, le paysage était magnifique sous cette couche blanche. Andrew et moi avons de la chance d’habiter dans ce coins de la ville : on aurait dis la campagne avec tous ces champs, ces arbres, cette incroyable tranquillité et la petite ferme à coté de chez moi ! Tous étais silencieux jusqu’à la grande route qu’il fallait longer pour arriver à notre destination. Le trottoir n’avait pas été déneigé se qui rendais notre progression assez difficile !

    Nous avions engagé la conversation sur nos cours de la journée et aussi sur Karine, la petite copine d’Andrew, quand je me suis arrêté, pétrifier : Un serpent d’un noir d’ébène se trouvait en plein milieu de la route ! Il aurait dû se faire écraser, surtout qu’un 3 tonnes venait de rouler sur lui, mais non ! Il me fixait de ses petits yeux rouges, les mêmes que dans mon rêve ! Andrew me regardait comme si j’étais folle !

    -        -  Pourquoi tu regarde la route comme sa ? T’es bête ou quoi ?

    -       -   Non non rien, laisse tomber !

    Et ce qui devait arriver arriva : mon pendentif se mit à clignoté, mais d’une leur blanche, éclatante ! Le petit serpent me regarda avec plus d’attention et… se prosterna devant moi avant de disparaitre dans un nuage de fumé blanc ! A se rythme là, comment allait se finir ma journée !

    En continuant notre chemin j’essayai temps bien que mal à cacher cette lueur qui provenait de mon pull ! Je n’avais pas envie d’attirer tous les regards et par la même occasion me faire ridiculiser une fois de plus. Les autres de mon âges adoraient me rabaisser, pour eux, j’étais une extraterrestre pour rester polie, et chaque jours, c’était de nouvelles insultes, je ne sais pas comment faire pour leurs « convenir » car même quand je m’habille avec des habits à la mode, ils trouvaient toujours quelque chose chez moi, de pas normal ! Et je crois que le pire, c’est ces filles que tout le monde aime, ces pots de peintures, ces filles qui se croient au dessus de tout le monde : les filles populaires ! Alors elles, elles s’en donnaient à cœur joie pour me faire passer pour une moins que rien ! Je ne pouvais pas les voire ! Surtout cette Laura Bergnatti ! C’était LA fille populaire du collège, celle que tout le monde connait ! Et comme je suis différente d’elle, et bien elle me déteste ! Et la chose qui me dégoute le plus chez cette « chose » (car à se niveau on ne peu même plus dire un être humain !) c’est qu’elle sort avec Loïc Scotteret ! Je ne vais pas vous le cacher, dès que j’ai vue Loïc, je suis tombé amoureuse ! Mais il est hélas populaire lui aussi, donc forcément, c’est la p’tite Laura qui là ! Bref, je n’étais pas du tout intégrer dans mon collège ! Et comme j’avais de bonnes notes, j’étais traitée d’intello ! Je n’en pouvais plus, et mon père s’en fichait pas mal, ses centres d’intérêts étaient plutôt le foot et les belles voitures.

    Finalement, Andrew et moi sommes arrivés à notre arrêt alors qu’une bataille de boule de neige avait éclaté entre les filles et les garçons, certains, visaient la vitre des camions qui passaient. Je me suis dirigé vers Marine et Marie en esquivant les boules qui fusaient des deux camps.

    -         - Salut les filles !

    -       -   Salut Thalia ! Tu savais qu’y avait pas de bus ! C’est trop cool !

    -         - A ba non je savais pas ! Et comment on fait pour la réunion Marine ? (Marine était aussi une délégué)

    -       -   Je pense que mon père pourra nous emmener si on se dépêche ! Marie ! Tu veux venir avec nous ?

    -        -  Si tu veux ! Mais je préfère que se soit ma mère si ça te dérange pas !

    -       -   Non non t’inquiète ! On y vat ?

    -        -  Oh ! On peut attendre 5 minutes ! On s’éclate ici !  

    -         - Ben euh… c’est qu’on est pressé !

     

    -        -  Oh la la c’est bon ! On y va Marine ! 


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         Thalia  ! Aller debout !

    Je me suis réveillée en sursaut, des gouttes de sueur perlaient mon visage, je n’arrêtai pas de penser à ce monstre qui avait voulu me tuer ! Mais se n’était qu’un rêve, mais j’avais l’horrible impression qu’il était réel ! C’est vrai, dans un rêve, souvent tout est flou, et irréaliste, mais là… J’avais le sentiment d’avoir déjà affronté se dragon blanc, ou du moins, l’avoir déjà vu ! Mais c’était trop bête ! Moi, avoir vue un dragon, pour de vrai ! Et pourtant… Et la chose la plus étrange lors de mon réveil, c’est d’avoir constaté que mon pendentif clignotait ! Chose peu banale !

    Mon père me tira vivement de mes pensées en me faisant savoir que si je ne me dépêchais pas, je raterai le bus, se qui serai assez embêtant car j'avais une réunion de délégué à 9 heure et je ne devais pas la rater ! Revenons sur mon papa, il s’appelait Lucas, il avais la quarantaine et avait l’affreuse habitude de changer de sujet quand je voulais en savoir un peu plus sur ma mère ! Et oui, je ne l'ai jamais connue, je ne connais pas son nom, son âge, son domicile, se qu’elle fait dans la vie… RIEN ! Je sais juste qu’à ma naissance, elle m’a laissée se pendentif que je ne quitte jamais. Ce pendentif, se n’ai pas la première fois qu’il clignote, à chaque fois, c’est quand il c’est passer un événement assez, comment dire, surprennent ! Comme cette sortie au zoo… Mai je n’aime pas trop en parler…

    -          - THALIAAA !

    -          - Oui ! J’arrive !

    Je me dirigeai dans ma cuisine décoré avec dans couleurs rappelant l’Afrique, le soleil, la savane… la nappe était illustré de petits éléphants et de zèbre et j’adorai m’inventer des petites histoires en mangeant mes céréales comme quoi le zèbre défendait le lion ou des choses comme sa ! Et à chaque fois, le héros de mes petites histoires était soit un grand cobra ou un crocodile, car mes animaux préférés sont les reptiles, se qui peu sembler un peu ors du commun comme disait tout le monde ! J’ai tellement entendu de réprimandes comme quoi j’étais blizzards, différente…

    Je me suis préparé un petit bol de chocolat chaud, des corn flakes dans du lait bien froids et après avoir débarrassée la table, je courrais m’habillé pour ne pas perde de temps pour me faire mon chignon, car le plus souvent, cela me prenais bien 10 minutes ! J’ai enfilé à toute vitesse mon jeans slim noir et un pull bleu turquoise car j’ai constaté par la fenêtre que la neige étais tombée, à oui ! Parmi les choses que les gens « normaux » trouve d’étrange chez moi, c’est ma peur du froid, de la neige et tout se qui concerne le froid, à croire que je j’étais la seule personne à ne pas aimer l’hiver !

     

    Après avoir finis ma petite coiffure et dis au revoir à mon père, je refermai la porte de mon petit appartement et partis pour une nouvelle journée de « torture » au collège…      


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  • Voici le début de mopn histoire, j'éspère qu'elle vous plaira ! Dite moi vos avis ! 

     C’était une nuit sans lune, je me trouvais dans une petite clairière en amont d’une montagne où le sol était gelé à certains endroits et pourtant, une chaleur étouffante régnait dans cette montagne rocheuse.

     Je courrais à toute hâte, comme si une chose me poursuivait, pourtant, tout semblais calmes : Le bruit cristallin des ruisseaux se formant avec la fonte des glaces donnait même une impression de sérénité  totale à cet endroits. Pourtant, je sentais qu’un danger arrivait à toute allure, et que se magnifique endroit appartiendrai bientôt au passer.

     Je continuai à fuir entres les rochés, en essayant d’évitée aux passages des créatures singulières qui dormais paisiblement, mais la chaleur me rattrapai  et j’entendais au loin un bruit de pas qui se rapprochais. La peur me pris, et je courrais de plus belle. A un moment, je me rendis compte que le paysage se déformait ! Ce n’était plus le décor d’une montagne paisible bordé de sapin qui s’offrait à moi, mais un volcan en éruption !

     Mais je courrais toujours et toujours en suivant le chemin rocailleux qui longeait la pente de la montagne ardente. La chaleur était insupportable et le bruit de pas se rapprochait de plus en plus ! Je n’osais pas me retourner mais je sentais une présence derrière moi, une chose maléfique qui dégageais une odeur de souffre qui montait à la tête. Quand soudain je m’aperçus qu’un mur de pierre en fusion me barrait la route, j’étais prise au piège ! Et lorsque je me retournai, un effroyable spectacle s’offrit à moi, la chose la plus terrifiante que je n’avais jamais vue : Trois gros yeux rouge globuleux me regardaient avec insistance et mépris, j’ai distingué que cette créature était enfaite un dragon blanc d’au moins 6 mètres de haut ! J’étais pétrifiée et je me demandais pourquoi cette créature ne me dévorait pas sur le champ ! J’avais l’impression que quelque chose l’intriguait, et il regardait d’un œil craintif mon pendentif ! Nous aurions pu nous dévisager pendant de longues minutes encore, quand tous d’un coup, la mélodie de  people, help the people s’éleva dans les airs ! L’animal me regarda avec des yeux si surpris, que si l’ambiance n’avait pas été si effrayante, j’aurais eu un grand fou rire !

     

    Et là, tous devins flous, le dragon avait disparu et je me suis retrouvée dans… mon lit !          


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